à propos de nous
20 ans d’histoire
L’association 2PAO (Plateforme Professionnelle Addictologie Occitanie) c’est plus de 20 ans d’expériences aux côtés des professionnels de l’addiction.
D’abord réseau-ville-hôpital, l’Association Passages est devenue PRA31, RAMIP, puis depuis 2021 la 2PAO : la Plateforme Professionnelle Addiction Occitanie.

2PAO
2 PAO
Notre histoire
- Depuis 2021
- 2013
- 2007
- 1994
2PAO : PLATEFORME PROFESSIONNELLE ADDICTION OCCITANIE
RÉSEAU ADDICTIONS MIDI-PYRÉNÉES (RAMIP)
Dans le mouvement de la régionalisation des politiques publiques, l’Agence Régionale de Santé de Midi-Pyrénées, en concertation avec les acteurs du réseau, a souhaité que PRA 31 s’implique dans une action régionale.
En tant que réseau de soignants, le choix de s’inscrire dans cette démarche n’a pas été une révolution du point de vue de la pratique de réseau.
Pour autant, la mise en place du projet régional a nécessité une connaissance précise des situations de réseau en addictologie en Midi-Pyrénées.
A la fin de l’année 2013, PRA 31 devient RAMIP : Réseau Addictions Midi-Pyrénées. La première Assemblée Générale a eu lieu à la fin du mois de janvier 2014, regroupant plus d'une centaine de participants de toute la région. Trente-six administrateurs ont été élus ainsi qu’un bureau de douze personnes représentatives des membres fondateurs de 1994, des institutions comme l’Hôpital G.Marchant, des acteurs de la réduction des risques comme les associations Tarn Espoir et Aides, le CEIIS du Lot, anciennement porteur du réseau addiction RESAD 46, l’ANPAA, la Clinique du Relais (CTR) et des professionnels libéraux dont le Président, le Docteur Jacques Barsony, devenu Président d'honneur en 2018.
Le projet régional de RAMIP s'est construit à la fois pour valoriser et soutenir les actions existantes sur chacun des territoires, pour permettre une continuité dans les actions de réseau et pour impulser la construction de liens entre les professionnels.
Huit groupes territoriaux sont en place sur l’ensemble de Midi-Pyrénées pour construire des actions de proximité ainsi qu’un Comité Opérationnel Régional permettant à tous de s’enrichir des expériences de chacun.
Aujourd'hui, l'association poursuit son projet et continue de développer, en plus des groupes évoqués, des groupes de travail thématiques, d'études de situations cliniques, des réunions interprofessionnelles et inter-institutionnelles, des formations de sensibilisation et d'autres actions encore.
L'association est engagée au travers des valeurs essentielles d'humanité, de respect, d'éthique et de déontologie, qui guident le travail réalisé dans la mise en œuvre des actions coconstruites avec les acteurs du territoire.
PASSAGES RÉSEAU ADDICTIONS 31
ASSOCIATION PASSAGES
En décembre 1994, à Toulouse, trois centres de soins spécialisés en Toxicomanie (AAT – Association Accueil Thérapeutique, association Clémence Isaure et association Oc Drogue, devenu depuis ARPADE), l’Hôpital Joseph Ducuing et un groupe de médecins généralistes et de pharmaciens d’officine créent le Réseau Ville Hôpital Toxicomanie Passages.
Le caractère plurifactoriel de la toxicomanie nécessite une approche et une prise en charge transdisciplinaires pour laquelle la coopération des professionnels de la ville avec l’hôpital et des centres spécialisés apparaissait déjà essentielle.
La mise en commun de différentes compétences complémentaires dans des domaines spécifiques donnait la garantie aux personnes toxicomanes d’être accompagnées dans leur prise en charge autant du point de vue médical que psychosocial.
La coordination de l’ensemble des acteurs concernés apparaîtra rapidement comme un atout indiscutable pour l’efficience des prises en charge quelles que soient leurs particularités.
Plutôt que la notion de filière de soin ou de réseau de soins formalisé, Passages a choisi la formule du réseau de soignants, beaucoup plus souple et mieux adapté aux problématiques des toxicomanes, de leur vie, de leurs parcours, de leurs ruptures, de leurs crises, de leurs avancées, de leurs rechutes…
Il n’existe pas de parcours type. Chacun relève de modalités spécifiques et de ce fait de prises en charge spécifiques et adaptées. Les personnes toxicomanes interpellent, selon les moments, différents interlocuteurs et différentes structures, parfois simultanément, parfois successivement.
C’est en ce sens que le travail partenarial est essentiel. La force du réseau a été sa capacité à maintenir la diversité et la complémentarité des approches, dans le respect des compétences de chacun, quelle que soit leur place, en ville, dans les centres spécialisés ou à l’hôpital.